Géraldine Parodi a apporté sa pierre à la féminisation du métier de scaphandrier. Tout d’abord archéologue plongeuse, la jeune femme intervient aujourd’hui dans le grand bain industriel. Mais aussi sur des ouvrages d’art, portuaires ou fluviaux.
Loin des plateformes off-shore, les scaphandriers de sa trempe réalisent à -50 mètres sous l’eau des tâches qui se font habituellement à l’air libre : soudage, découpage de métaux, raccords de tuyauterie, maçonnerie, inspections de barrage ou d’épaves … Toujours dans des conditions de visibilité restreinte.
Géraldine a rencontré Théo à l’INPP il y a quelques années et ils partagent depuis leur passion du métier.
#EPISODE 1
Aujourd'hui au sein de la de la SMTH, entreprise familiale basée à Martigues dont l'activité est souvent en lien avec les usines chimiques et pétrochimiques de la région, Géraldine fait un métier d'homme, pénible et dangereux. Formée à la soudure dans l'eau, elle intervient comme artisan sous-marin du BTP.
#EPISODE 2
Scaphandrière, Géraldine réalise sous l'eau des tâches qui se font généralement à l’air libre : soudage, découpe de métaux, raccords de tuyauterie, travaux de maçonnerie ou encore inspection de barrages ou d'épaves, le tout jusqu'à -50 mètres de profondeur, le tout dans des conditions de visibilité très restreintes. Un métier à haut risque qui exige une vigilance de chaque instant.
#EPISODE 3
En ce début d'année 1992, le projet Hydra 10 se dessine clairement pour la Comex. Il s'agit d'une nouvelle expérimentation dans l'optique de faire descendre des hommes plus profond, plus longtemps. Il faut alors choisir l'équipe des trois aquanautes qui entreront dans le caisson et porteront cette tentative de record. Théo, remarqué pour ses grandes qualités professionnelles en chantier, est désigné comme « plongeur secours ». Mais le destin va en décider autrement.